CRISTIANO RONABDO
Ce samedi 28 mai 2016, en terre milanaise, la finale de la Ligue des Champions opposait l’Atlético Madrid au Real Madrid. Mon amie Carmen, une Andalouse au sang chaud, avait viré son mec pour la soirée. En tant que supporter acharné du PSG, il risquait par trop de l’énerver au moindre commentaire déplacé et elle n’avait pas envie de décrocher la paire de banderilles accrochée au mur, juste sous la tête de taureau empaillée, pour les planter en plein cœur de son chéri adorado, ma non troppo. Elle avait passé l’après-midi à préparer une délicieuse paella pour tromper son impatience et m’avait invitée à partager ce succulent événement télévisé pour deux raisons : nos connivences footballistiques et notre intolérance au pectoral CR7.