TELLE  FILLE…

Déjà plus de trois ans et cet article n’a pas pris une ride ! Je le relis toujours avec plaisir. Et avec une certaine fierté aussi. Ma fille en est l’auteure et son style est plus que prometteur. Dans le narratif et l’explicatif, il y a ce petit quelque chose de pertinent et d’impertinent, qui nous chatouille le cervelet en même temps qu’il nous creuse l’occipital. Il y a le fond et la forme. Le respectueux se mêle au malicieux. Réflexif, symétrique et transitif. On en redemande. On espère de nombreux autres épisodes. Il y a aussi une perspective différente de ce duo-duel entre le masculin et le féminin. Ou vice versa. La parenté se loge également et heureusement dans les idées. Et bien sûr dans la sensibilité. Une sensilisibilité évidente pour laquelle il n’est pas besoin de vous souhaiter : Bonne lecture.

Morgane de la phallocratie

Cliquer sur la photo dans l’encadré pour avoir accès au texte dans son intégralité

De l’origine et l’utilité de la galanterie.

 

Décriée par certaines féministes, célébrée par certains artistes, la galanterie m’est toujours apparue comme une forme d’intelligence et d’élégance relationnelles entre femmes et hommes. Un raffinement à la fois civique et sentimental du sexe dit fort envers le sexe dit faible, et réciproquement. Très tôt, l’idée de la femme suzeraine naturelle m’a semblé tellement indiscutable que je ne comprenais même pas l‘occurrence d’un débat à ce sujet. Le concept ne pouvait être (et surtout avoir été) que salutaire à tous points de vue. (suite…)

De jolies bouées assorties aux petites balles jaunes ?

Durant cette édition 2016, le programme de Roland Garros a pris l’eau sans modération. Les organisateurs du principal tournoi de tennis français ont pataugé dans l’incertitude la plus totale plusieurs journée d’affilée, sans savoir s’ils finiraient par boucler leur calendrier comme prévu ce prochain week-end. Submergés par les parapluies, les gradins scrutaient avec anxiété des courts bâchés, débâchés, rebâchés, sur lesquels était servie au compte-gouttes un brouet de tennis assez délayé. Certains auraient même pu servir à la cuillère que ça n’aurait pas changé grand chose. Mais globalement et comme souvent, les meilleurs ont tout de même fini par surnager.

djoko water

Un casse-tête pour les uns devenu aubaine pour les autres. (suite…)

Joli mois de mai ?

En Mai...

 

Ce mois fait vraiment ce qui lui plait.

Ça commence le 1er mai par une fête du travail qui, dès 1890, fait défiler les manifestants avec un triangle rouge à la boutonnière symbolisant la journée divisée en trois parties égales : travail, sommeil, loisirs. La fleur d’églantine assure un bref relais avant que le brin de muguet ne reprenne le devant de la scène. En 1561, Charles IX avait déjà pris l’habitude d’offrir des brins de muguet aux dames de la cour en ce premier mai décidément bien inspiré.

Une semaine après, le 8 mai est moins sémillant. (suite…)

De l’origine et l’utilité de la galanterie.

Décriée par certaines féministes, célébrée par certains artistes, la galanterie m’est toujours apparue comme une forme d’intelligence et d’élégance relationnelles entre femmes et hommes. Un raffinement à la fois civique et sentimental du sexe dit fort envers le sexe dit faible, et réciproquement. Très tôt, l’idée de la femme suzeraine naturelle m’a semblé tellement indiscutable que je ne comprenais même pas l‘occurrence d’un débat à ce sujet. Le concept ne pouvait être (et surtout avoir été) que salutaire à tous points de vue.

Cela est manifeste dès les premières leçons d’histoire, à moins de faire une fixette sur (suite…)