PANOPLIE



Plusieurs d’entre vous ont repéré la sandale revolver qui a illustré l’article édité hier dans ces colonnes,  sous le titre « Dilemme – Les temps changent ». Son charme bang bang plutôt que bling-bling a fait mouche mais une question s’est immédiatement posée : avec quel accessoire l’assortir sans que cela détonne et sans se tirer une balle dans le pied sur le plan financier ?

Nous vous fournissons la réponse avec ces diverses illustrations, qui sont autant d’options mises au service de votre arsenal chic et choc. Une arme de séduction lascive…
À double détente, évidemment.

L’ÉQUIPE ET PIC ET COLÉGRAM


Dans la série ‘’Essaye un peu de lire ton journal, juste pour voir…’’, nous avons le plaisir de vous présenter l’ami Shadow, correcteur et censeur sportif dans l’âme.

S P P P M

Saint Patrick Priez Pour Moi ! Par tous les poulpiquets et farfadets de la grande marmite gaélique, je crains fort de ne pouvoir trinquer dignement, en cette mémorable soirée, à la célébration of the Saint Patrick’s Day ! J’en suis verte de rage. Puissent les korrigans et lutins verts du Paddy Power ne point m’en tenir rigueur. Après tout, je me prénomme Brigitte, telle la déesse mère, la très haute, l’unique divinité féminine en bonne terre d’Irlande. Par avance, j’implore la protection de sa cohorte de sylphides bienveillantes et promets de me racheter une conduite fervente en 2018…

ÉGALITÉ  HOMME/FEMME  ?
WOMAN/MAN  EQUALITY ?


Quand la femme devient l’égale de l’homme, perd-t-elle davantage qu’elle ne gagne ? En 2014, la Chine a tenté d’apporter une réponse très contrastée avec une parade militaire rutilante. Il est vrai que dans ce pays, la question des droits de l’homme et celle des droits de la femme semblent subir un traitement assez équivalent…

When Woman equals Man, is she loosing more than she wins? In 2014, China tried to adopt a very contrasted answer with a sparkling military parade. It is obvious that in this country, rights of men and rights of women treatment is identical….. 

ULTIMATUM


Voici, ci-dessus, le message qu’un imbécile, ou un inconscient… ou les deux à la fois, a jugé bon de m’envoyer hier soir, en l’honneur de la journée internationale des droits de la femme. Ma réponse est simple. Je lui accorde un sursis de vingt-quatre heures maximum pour se confondre en des excuses aussi plates qu’une limande qui serait passée sous un rouleau-compresseur. Pardon pour cette vision déchirante d’un monde animal lui aussi trop souvent martyrisé (surtout s’il s’agit d’une limande femelle, vivant quotidiennement sous la contrainte et l’humiliation de cette expression navrante : «plate comme une limande» !). (suite…)