TIC TAC, TIC TAC, TIC TAC…

ULTIMATUM


Voici, ci-dessus, le message qu’un imbécile, ou un inconscient… ou les deux à la fois, a jugé bon de m’envoyer hier soir, en l’honneur de la journée internationale des droits de la femme. Ma réponse est simple. Je lui accorde un sursis de vingt-quatre heures maximum pour se confondre en des excuses aussi plates qu’une limande qui serait passée sous un rouleau-compresseur. Pardon pour cette vision déchirante d’un monde animal lui aussi trop souvent martyrisé (surtout s’il s’agit d’une limande femelle, vivant quotidiennement sous la contrainte et l’humiliation de cette expression navrante : «plate comme une limande» !).

En outre, le machiste irresponsable, limite kamikaze, dont il est question ici devra trouver une réparation digne de l’affront subi au plus profond de ma fibre féminine alors que cette journée symbolique et inattaquable du 8 mars touchait doucement à sa fin. Passé ce délai de vingt-quatre heures, je déclencherai la troisième guerre mondiale et livrerai son nom, ainsi que ses coordonnées téléphoniques, mails et adresse postale à la vindicte féministe de la moitié de la population du globe terrestre… En ajoutant tous les sympathisants des autres genres ralliés à la cause du sexe dit faible, cela représente un sacré paquet de missiles à têtes chercheuses nucléaires (rien que ça) suspendu juste au dessus de sa tronche de gros macho à la langue trop bien pendue. Telle la meute de la dame aux clebs.
Attention… Top chrono !

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