APRÈS L’ENFER, LE PARADIS ?


À quelques encâblures de l’arrivée en Martinique, et après avoir traversé des parages beaucoup plus tourmentés, la flotte de la transat en double Jacques Vabre est contrainte à une grosse baisse de régime, rendant les derniers miles de la course encore plus éprouvants nerveusement. Un calme après la tempête qui tend à remodeler les valeurs, avec, pour les leaders, l’affreuse hantise de se faire voler la victoire sur le fil. Et vivre un véritable enfer dans ces eaux paradisiaques.

TOUT EST LIÉ

Un dessin terriblement évocateur et glaçant de vérité. Peut-être est-il même un peu trop indulgent vis à vis de l’homme et des conséquences de son inconséquence. La représentation de la grande chaîne de la vie par cette longue corde est tout à fait pertinente. Cependant (avec ou sans jeu de mots), il y a fort à craindre que nous ne disposions plus d’autant de marge de manœuvre que ne le laisse supposer la réserve du filin enroulé au sol. Et que le lien qui relie l’humain à l’animal, beaucoup plus resserré que certains peuvent le penser, ne précipite ce suicide collectif.

LE HAKA, C’EST ÇA !

Les All Blacks l’ont rendu célèbre sur tous les continents, en préambule de leurs matches de rugby. Mais que savons-nous réellement de ce rituel insulaire né dans le Pacifique Sud et transmis par les Maoris de Nouvelle-Zélande ? En léger décalage, risquons donc une tête hors de la mêlée pour tenter une ouverture côté fermé. En démontrant que rien n’est jamais tout blanc… Ni tout noir.

MY BLUE MYSTERY

My Blue Mystery

Je l’ai appelée My Blue Mystery,

Rencontrée par hasard à Monoprix,

Puis repartie dans la rue de Reuilly,

Sans un regret, sans un mot, sans un bruit.

Elle ourlait l’asphalte et le ciment gris

De pensées saphirs et longs grains de riz,

Ondulant entre geisha et gipsy,

Devant l’incrédule et l’idiot qui rient.

Sœur d’Osiris et fille du Yang Tsé,

Aux senteurs d’iris et fleur de tiaré,

Une nuit bleutée, je prendrai le thé

À tes côtés sans rien te demander.

Ton silence emplit le creux de mes yeux

D’un spleen radieux, et malheureux un peu.

Le temps d’un vœu, on s’est rêvé à deux.

On ne se reverra plus et c’est mieux.

HAPPY 89 !

Née le 15 novembre 1932 à Epson, dans le Surrey, en Angleterre, Petula Sally Olwen Clark, plus connue sous le nom de Petula Clark, fut, des deux côtés de la Manche, l’une des artistes les plus populaires des années 1960. Chanteuse, compositrice et actrice britannique de par sa naissance, elle fut rapidement adoptée par la France, qui, outre le succès, lui procura un mari dès 1961 en la personne de Claude Wolff, alors attaché de presse de la maison de disques Vogue. Fêter ses 89 ans et ses noces de diamant (60 ans de mariage) la même année n’est pas donné à tout le monde. Faire voyager dans le temps ses admirateurs non plus.

(suite…)

ÇA MARCHE !

Je dois bien avouer que j’étais quelque peu sceptique au départ. Toutefois, de récentes expériences vécues m’ont amenée à reconsidérer mon point de vue sur la question. Oui : les pierres énergétiques sont tout à fait capables d’éloigner les personnes chargées d’ondes négatives ou de chasser les mauvais esprits. Il faut simplement s’appliquer et savoir bien viser la tête.

UN CAVALIER ET DES SOUVENIRS…

Un cavalier qui surgit hors de la nuit… court vers l’aventure au galop… Et des souvenirs qui remontent le long de notre enfance, avec la chanson et les épisodes de Zorro, ce feuilleton qui fit notre joie à une époque où il y avait très peu de programmes audiovisuels pour la jeunesse, et encore moins de chaînes de télévision. Tout le monde se souvient du célèbre feuilleton mettant en scène ce formidable justicier, qui signait son nom d’un Z, à la pointe de l’épée, éternel redresseur de torts, arrivant toujours au bon moment, à cheval sur son fier Tornado, et disparaissant juste après, protégé par un masque minimaliste, qui, dans la réalité, n’aurait jamais pu garantir le moindre anonymat à quiconque.

Guy Williams, Gene Sheldon et Henry Calvin ; ces trois noms ne diront sans doute pas grand chose à grand monde. Ce furent pourtant les trois acteurs qui donnèrent respectivement vie à Zorro, Bernardo, son fidèle serviteur sourd muet et le sergent Garcia, désarmant de naïveté confinant à la balourdise. Cet inoubliable trio fit le bonheur de tant d’entre nous dans leur enfance. Mais que sait-on finalement de leurs vies et de leurs parcours ? C’est la question que je me suis posée après avoir revu par hasard l’une de leurs 82 aventures, d’abord diffusées en noir et blanc sur le réseau américain ABC, entre octobre 1957 et avril 1962, puis programmées en France à partir de janvier 1965 sur la première chaîne de l’ORTF (Office de radiodiffusion-télévision française), pour être enfin colorisées à partir de 1991. La réponse à mon interrogation a surgi du fond de l’internet, par la grâce de YouTube et des trois petites vidéos proposées ci-dessous :