69 FAÇONS DE S’ENVOYER EN L’AIR
When you’re weary, feeling small
Lorsque tu seras lasse, affaiblie
When tears are in your eyes, I will dry them all
Lorsque les larmes monteront à tes yeux, je les sècherai toutes
I’m on your side when times get rough
Je serai à tes côtés quand les temps deviendront durs
And friends just can’t be found
Et que les amis seront introuvables
Like a bridge over troubled water
Tel un pont au dessus de l’eau trouble
I will lay me down
Je me pencherai
Like a bridge over troubled water
Tel un pont enjambant les eaux troublées
I will lay me down
Je me dévouerai
Gamal Abdel Nasser fut président de la République d’Égypte de 1956 à 1970. Impliqué très tôt dans la lutte contre l’influence britannique en Égypte, il développa dès 1962 des mesures socialistes remarquées et mit en place des réformes importantes en vue de moderniser rapidement son pays.
Cet extrait d’un de ses discours du début des années 1950 en dit long sur une question toujours d’actualité. Celui qui reste considéré comme un symbole de la dignité arabe, notamment de par ses initiatives pour une plus grande justice sociale et une vision plus moderne de l’Égypte, traite le sujet avec humour et bon sens. Près d’un demi-siècle après sa mort, l’Égypte semble malheureusement ne jamais lui avoir trouvé de digne successeur, que ce soit dans la parole, la pensée ou l’action.
La conception du clavier Azerty remonte au XIX° siècle, et à la première machine à écrire produite en masse : la fameuse Remington, fabriquée par l’armurier du même nom dès 1873, mais que son inventeur, Christopher Scholes, avait d’abord baptisé TypeWriter.
Pourquoi une telle disposition des lettres ? Pourquoi, par exemple, ne pas avoir repris simplement l’ordre alphabétique ? Pourquoi ce clavier Azerty, qui est en réalité une adaptation pour la langue française du clavier Qwerty, en usage chez les Anglais ? (suite…)
J + 5 au Mondial de l’Auto 2016, dont le thème de cette édition est “Vivez l’automobile”. C’est une appellation très générique, à vrai dire un peu évasive, mais qui semble convenir aux médias. Ceux-ci ne se posent apparemment pas trop de questions et apportent toujours les mêmes réponses avec ce leitmotiv unique : “On va vous présenter les modèles de demain” !
Personnellement, cela ne me déplairait pas qu’on reparte de temps en temps vers une autre essence. On a bien assez de sens pour faire la route dans l’autre sens. Et entrouvrir la porte vers un style et une esthétique d’antan…