HYPOCRISIE EUROPÉENNE


Depuis le début de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, la communauté européenne a fermement condamné l’attitude de Vladimir Poutine et a assuré Volodymyr Zelensky de tout son soutien. Les médias n’ont cessé d’évoquer les aides financières et les envois d’armes en faveur de l’Ukraine, et ont, dans le même temps, insisté sur les sanctions économiques prises à l’encontre de la Russie. Le grand public était donc en droit de penser que l’Europe, fière des valeurs humaines et démocratiques qu’elle prétend défendre, avait choisi son camp. Le tableau ci-dessus démontre que la réalité est bien différente. En achetant ses énergies fossiles, et en faisant couler des dizaines de milliards de dollars dans les caisses de la Russie, les soi-disant partenaires européens de l’Ukraine ont fait tout le contraire que ce que sont censés faire de véritables alliés. À l’heure actuelle, les aides cumulées que l’Europe et les États Unis ont promis à l’Ukraine atteignent péniblement les 4 milliards, alors que le commerce lucratif de l’énergie en a déjà fourni dix fois plus à la Russie ! Comme toujours, la balance des paiements penche beaucoup plus largement en faveur du fric que des grands sentiments. Pire, au cours des deux derniers mois, certains pays européens, l’Allemagne en tête, ont augmenté leurs achats de gaz et de pétrole russes tout en donnant des leçons de morale à Poutine. Le seul enseignement que l’on peut tirer de cette triste affaire est clair : l’hypocrisie et la duplicité des nos politiques n’ont décidément pas de frontières.

DES SANCTIONS PLUS SÉVÈRES


Chaque année, c’est pareil. Trop de départs d’incendies sont la conséquence de conduites ô combien imprudentes ! On devrait se montrer beaucoup plus sévère avec les coupables. Par exemple, attiser un barbecue (et ses convives) en portant des bas nylon est un comportement totalement irresponsable ! Tout le monde sait bien que cette fibre, extrêmement fragile, craint par dessus tout les escarbilles ou les flammèches, aussi minuscules soient-elles. Le moindre contact avec une matière incandescente suffit à faire filer le bas et le priver instantanément d’une classe et d’une élégance bien particulières. Sérieusement, qui pourrait nier ou contester la gravité et les conséquences d’une telle catastrophe ? Et le fait que toute personne ayant pu, de près ou de loin, la provoquer ou la favoriser, mérite une peine exemplaire et incompressible… assortie, pire que le port d’un bracelet électronique, d’une filature à vie.

13 JUILLET 2022


Pleine lune en pleine nuit du 13 au 14 juillet 2022, quelque part en Moselle… 3h33… Je ne parviens pas à dormir et l’article d’un magazine spécialisé en astronomie me fait comprendre pourquoi. Cette pleine lune est en réalité une super lune, avec un spectre astral hors du commun. Plus lumineuse et plus imposante qu’à l’accoutumée, elle génère une énergie accrue. L’astrologie ajoute son grain de sel en expliquant que capricorne et cancer feront allégrement virevolter émotions, réflexions et intuitions dans les journées, et surtout les nuits prochaines. À chacun d’y puiser un savant équilibre afin de ne point basculer du côté obscur de la force ! Un autre aspect de cette pleine lune du mois de juillet, également appelée pleine lune du tonnerre, réside dans son pouvoir “électrisant”, dû aux phénomènes orageux et aux assauts de la foudre, évidemment plus fréquents à ce moment de l’année. Je sais maintenant pourquoi, en cette période particulière, le sommeil me fuit… et ma lampe de chevet ne daigne plus vraiment obéir à son interrupteur.

QUESTION TÉLÉPHONÉE


À la question nunuche posée par Le Journal des Femmes : « Qui est Olympia de Grèce, la princesse que les créateurs s’arrachent ? », une réponse évidente et immédiate tombe sous le sens. Elle est apportée d’emblée par la photographie illustrant l’article et peut se résumer ainsi : Olympia de Grèce, c’est la bimbo qui prend ses pompes pour des téléphones mobiles ! Personnellement, j’y réfléchirais à deux fois avant de lui offrir un banana split dans un restaurant cinq étoiles ou un esquimau dans une salle de cinéma.