VOILE NOIR
Au dessus de lui, un ciel bleu comme ses rêves de petit garçon au matin de juillet. En dessous, une eau bleue comme la profonde mélancolie d’outre-mer, où subsiste un lointain parent. Entre les deux, celui de ses yeux, clair comme deux “o” qui se refléteraient dans l’air. L’air du temps ou l’air du vent. L’air de rien, celui d’avant. Un peu plus loin, quelques concurrents régataient bord à bord. Trimarans et catamarans allaient gaillardement de l’avant. (suite…)