PROCURATION À VIE
Le vendredi 18 septembre 1981, sous l’impulsion de Robert Badinter, alors garde des Sceaux, l’Assemblée nationale votait l’abolition de la peine de mort en France. Sur 482 députés, une majorité de 369 se prononça en faveur de cette réforme. Ils furent tout de même 113, à voter contre, soit près du quart de cette honorable instituion. Mais, comme le prétend un proverbe russe : « Instruire un imbécile ? Autant soigner un mort » ! (suite…)