NEW POP STARS

Le soleil est enfin de retour ! Dès lors, quoi de plus approprié, pour célébrer ce come-back tant attendu, que de fredonner le célèbre “Here comes the sun” des Beatles. Pour nous donner le la, les Smashing Dragons, que l’on pourrait traduire par “Les dragons en folie”, brulent les planches de leur studio, probablement aménagé dans la cave des parents, au milieu des cartons de rangement, des boîtes à outils et des casques de chantier. Ces parents, tout comme leur progéniture talentueuse, n’étaient pas nés lorsque cette composition mythique fut écrite par George Harrison, au printemps 1969. De la fin des Beatles à la naissance des Smashing Dragons, plus d’un demi-siècle s’est écoulé mais la reprise du flambeau semble assurée. Ce groupe pop-rock pour jeunes s’est formé dans le comté de Kent, au sud-est de Londres. À l’époque, ses quatre membres n’avaient que 9 ans. Ils en ont aujourd’hui 11, déjà toute une éternité, mais le nouveau quatuor peut espérer une place au soleil en prolongeant ses rêves, d’abord sur internet, avant de, qui sait, briller sur scène d’ici quelques années.

The sun is back at last! So what better way to celebrate this long-awaited comeback than by humming the Beatles’ famous “Here comes the sun“. To set the mood, the Smashing Dragons burn the floorboards of their studio, probably set up in the parents’ cellar, amidst storage boxes, toolboxes and hard hats. The parents, like their talented offspring, were not even born when George Harrison wrote this legendary composition, in the spring of 1969. From the end of the Beatles to the birth of the Smashing Dragons, more than half a century has passed, but the torch seems assured. This youth pop-rock band was formed in Kent, south-east of London. At that time, its four members were just 9 years old. Now they’re 11, which is a lifetime ago, but the brand new quartet can look forward to a place in the sun by extending their dreams, first on the Internet, before, who knows, shining on stage in a few years’ time.

MISS PEGGY

Récemment, une amie quelque peu délurée piqua ma curiosité en me proposant une excursion pour le moins singulière. Avec un petit sourire malicieux, elle me chuchota : « Allons donc faire un tour au bois de Vincennes. On m’a recommandé un endroit très particulier, propice à des rencontres extraordinaires. C’est encore plus excitant qu’au bois de Boulogne… Les photographes amateurs s’y pressent pour y faire des photos cochonnes avec des créatures peu farouches, provocatrices à un point que tu n’imagines même pas. Elles vont jusqu’à s’accouder nonchalamment aux portières des voitures, avec leurs grands ongles et leurs longs cils, et des regards si lascifs... » ! De telles perspectives, quasi-surréalistes, ne pouvaient que mettre en alerte mon sens journalistique aiguisé. Le droit à l’information doit primer en toutes circonstances. N’écoutant que mon courage, et mon devoir de reporter indépendant, j’accompagnai aussitôt mon amie en ces lieux mystérieux. Les aventurières audacieuses dont elle m’avait parlé étaient bel et bien au rendez-vous. Nous pûmes effectivement faire bon nombre de photos cochonnes en leur charmante compagnie.

ACCORD PEU COMMUN

La dernière cérémonie matrimoniale à laquelle j’ai pu assister me laisse un léger doute sur le concept de libre arbitre et de consentement mutuel. Également sur celui de non assistance à personne en… Mais peut-être ai-je trop souvent tendance à me poser des questions superflues…

The last marriage ceremony I was able to attend leaves me with a slight doubt about the concept of free will and mutual consent. I also have my doubts about the concept of non-assistance to a person in danger… But perhaps I tend too often to ask myself superfluous questions…

ÇA CANCANNE…

Enfin ! Le festival de Cannes a tiré son irrévérence ce week-end. Les people de tous poils, dont certaines le sont presque toujours (à poil) durant ces festivités, vont pouvoir goûter un repos bien mérité, après tant de sollicitations médiatiques et d’obligations mondaines. Les flashes, les coupes de champagne, les dîners de galas, les bringues d’enfer en boîte de nuit, avec after sur after, cela vous ruine un régime minceur et éclat de la peau à quelques semaines des vacances estivales ! Les illustres inconnus du septième art et les journalistes pique-assiettes sont déjà repartis vers d’autres râteliers. Cela ne trompe pas. Et les starlettes de la croisette vont pouvoir s’en retourner faire leur cinéma à Saint-Tropez ou Monaco sans risquer de se faire écraser par une Rolls-Royce.