UN  JOUR…

Des espoirs ? Des amours ? Désespoir, désamour ? Qui sont Élina et Olive ? Réouvriront-ils (ou elles) un jour le BizArt, ce petit café de la rue des Boulets, dans le onzième arrondissement parisien ? Ces questions resteront peut-être sans réponse. Elles font partie de celles que l’on se pose en se promenant dans les rues de la capitale, avec une étrange impression de “plus comme avant”. Cette inscription « De retour… Un jour ! » traduit bien ce vague à l’âme, que l’on tente de surmonter à coups d’humour et d’optimisme. Car ce n’est pas un point d’interrogation, mais bel et bien un point d’exclamation, qui termine la phrase sur la vitrine. Et cela change tout, non ?



ENCORE  UN  DRAME  DU CONFINEMENT

Après onze mois d’abstinence sportive et de privation de compétition, ma copine Coco a craqué. Hier soir, elle a bravé le couvre-feu pour tenter de renouer avec des sensations oubliées. L’adrénaline de l’exploit, l’ambigüité du hors-jeu, l’excitation de l’indécision, la quête de l’impossible, la rumeur des gradins, l’odeur de l’aire de jeu, la performance individuelle au sein d’un collectif, et surtout, l’atmosphère des rencontres à l’extérieur, bien plus excitantes qu’une pâle nocturne à domicile ; tout cela devait bien encore subsister quelque part. Il était impensable qu’il n’en reste plus aucune trace, aucune effluve réconfortante, si infime soit-elle. Bien qu’habituellement dans le camp des dealers, l’appariteur du stade dont elle avait forcé l’entrée a condamné cette addiction au sport. Il a dénoncé mon amie aux forces de l’ordre. Elle a aussitôt été reconfinée, à huis-clos et sur terrain neutre ! Motif principal : ligne de conduite inappropriée.

 

KATIE  &  JASON


Une prestation des plus attrayantes, pour faire oublier, par les temps qui courent, que le week-end n’est plus vraiment propice à aller guincher en bonne compagnie. Seule ombre au tableau dans cette séquence : les deux gros Australopithèques texans qui se croient obligés de faire la claque en arrière plan, et qui, de par leurs gesticulations simiesques, gâchent un peu le spectacle.

MARS  ET  ÇA  REPART  !

La Nasa a réussi l’exploit d’atteindre la planète Mars et d’y poser le rover Perseverance, un petit engin à 2,5 milliards de dollars, dont la mission essentielle consiste à collecter des échantillons du sol martien. Ceux-ci seront ensuite rapportés sur Terre pour y être étudiés d’ici une dizaine d’années. Ce délai peut sembler excessif, mais c’est le prix à payer pour effectuer sans encombre l’aller-retour Terre-Mars (soit 400 millions de kilomètres) dans l’état actuel de nos connaissances scientifiques. D’éminents chercheurs sont déjà à pied d’œuvre pour inventer de nouveaux vaisseaux spatiaux, capables de pénétrer les hautes atmosphères et d’atteindre les zones orbitales ciblées avec une efficacité maximale. Ces experts en astrophysique sont très motivés.

AVE  CAÏUS  JULIUS  CAESAR

Jules C


Il paraît qu’il est bi… Non, c’est pas vrai ! Si, un des plus grands bi de l’histoire… D’ailleurs, à bien y regarder, sous le stylet d’Uderzo et Gosciny, il a vraiment une tête de bi. Pire que dans “Une heure moins le quart avant J-C”, sous la toge de Michel Serrault. Hé oui ! Le plus grand des Jules, le plus grand des César : Caius Julius Caesar, alias Jules César, descendant de Vénus, déesse de l’amour (rien que ça), celui qui en fit baver à nos ancêtres gaulois, explora aussi “une pratique sexuelle indifféremment homosexuelle ou hétérosexuelle”. Telle est la définition de la bisexualité, chez les bipèdes ou chez les autres. (suite…)

N’OUBLIEZ JAMAIS LA SAINT VALENTIN !

DON’T FORGET THE VALENTINE’S DAY!

¡ NUNCA OLVIDAR EL DIA DE SAN VALENTIN !


Si, au lendemain de la Saint Valentin, vous découvrez un de vos collègues de bureau attaché à son fauteuil, ne vous posez pas la question de savoir pourquoi il s’est retrouvé en si fâcheuse posture…