APPELS  MASQUÉS

Comment un mec qui prend autant de précautions chaque fois qu’il se sert de son téléphone peut-il réussir à se faire panner dans ce qu’il est désormais convenu d’appeler l’affaire des écoutes ?

AFFAIRE  DES  ÉCOUTES

Affaire des écoutes : ce lundi 1er mars 2021, Nicolas Sarkozy a été condamné par le tribunal judiciaire de Paris à trois ans de prison, dont un an ferme, pour corruption et trafic d’influence. L’ancien président a aussitôt déclaré qu’il comptait faire appel. Appel d’offres ou appel masqué ?

SEPT  SUR  SEPT


Yes !!! Enfin une émission sur la téléréalité sans langue de bois, avec des gens qui savent de quoi ils parlent, qui s’expriment clairement et honnêtement, et qui débattent intelligemment sur le sujet en croisant des opinions fondées sur des expériences vécues différentes. Le casting est judicieux, tout comme l’idée de répartir les intervenants sur deux divans (vrai ou faux) à chaque question posée. Les prises de paroles sont nettes et précises. L’ambiance générale, sympa et décontractée, est propice à certaines révélations qui devraient ouvrir les yeux à un public jeune, trop souvent captif des mirages et contrevérités entretenus sur d’autres plateaux de télévision. Sur le fond et sur la forme, le meilleur débat que j’ai pu voir (et de très loin) concernant cette thématique.

L’ÂGE  DE  RAISON

Le seul à adopter un comportement responsable dans le contexte actuel n’a pas encore sept ans, cet âge que les adultes qualifient “de raison”… ces mêmes adultes, dont la conduite, en arrière-plan, ne paraît pas vraiment raisonnable.

À  DEUX,  C’EST  MIEUX.

Elles s’appellent Mayla et Sofia, sont originaires de Tapira, une petite localité rurale située dans l’État de Minas Gerais, au sud-est du Brésil, et ne cessent d’être sollicitées par les médias depuis une quinzaine de jours. La raison de cet intérêt soudain à l’égard de ces deux jumelles de 19 ans ? Elles viennent de naître une seconde fois, grâce à une opération de réassignation sexuelle quasi-simultanée (lors des mêmes 24 heures), effectuée par la même équipe chirurgicale, en date des 13 et 14 février derniers. Un cas de figure insolite, a priori unique au monde. (suite…)

L’ASSASSINAT  D’HERCULE


Les faits remontent à un peu plus d’un an. Hercule n’arrivera jamais à cet âge. Jeune mâle d’à peine dix mois, il avait été recueilli par Alain Martin, propriétaire du Domaine de Monceau, en Seine-et-Marne, un parc de 170 hectares où s’ébattent librement biches, cerfs, daims, chevreuils, sangliers et autres animaux sauvages. Théoriquement, le parc est privé. Dans la réalité, braconniers et chasseurs indélicats n’hésitent pas à détruire les clôtures ou découper les grillages pour venir assouvir leurs bas instincts sans le moindre scrupule. (suite…)

CHAUD  EFFROI


Depuis une dizaine de jours, le thermomètre ne cesse d’enregistrer des températures à la hausse. À la fin des journaux télévisés, les préposés à la météo, tous sourires dehors, ressassent ce qu’ils nomment l’excellente nouvelle du moment : le flirt avec les 20 degrés ! Le quidam un tantinet frileux se réjouit et applaudit des deux mains. Sommes-nous si peu à penser qu’hériter fin février de températures habituellement observées début mai n’est pas du tout une excellente nouvelle ?

UN  JOUR…

Des espoirs ? Des amours ? Désespoir, désamour ? Qui sont Élina et Olive ? Réouvriront-ils (ou elles) un jour le BizArt, ce petit café de la rue des Boulets, dans le onzième arrondissement parisien ? Ces questions resteront peut-être sans réponse. Elles font partie de celles que l’on se pose en se promenant dans les rues de la capitale, avec une étrange impression de “plus comme avant”. Cette inscription « De retour… Un jour ! » traduit bien ce vague à l’âme, que l’on tente de surmonter à coups d’humour et d’optimisme. Car ce n’est pas un point d’interrogation, mais bel et bien un point d’exclamation, qui termine la phrase sur la vitrine. Et cela change tout, non ?



ENCORE  UN  DRAME  DU CONFINEMENT

Après onze mois d’abstinence sportive et de privation de compétition, ma copine Coco a craqué. Hier soir, elle a bravé le couvre-feu pour tenter de renouer avec des sensations oubliées. L’adrénaline de l’exploit, l’ambigüité du hors-jeu, l’excitation de l’indécision, la quête de l’impossible, la rumeur des gradins, l’odeur de l’aire de jeu, la performance individuelle au sein d’un collectif, et surtout, l’atmosphère des rencontres à l’extérieur, bien plus excitantes qu’une pâle nocturne à domicile ; tout cela devait bien encore subsister quelque part. Il était impensable qu’il n’en reste plus aucune trace, aucune effluve réconfortante, si infime soit-elle. Bien qu’habituellement dans le camp des dealers, l’appariteur du stade dont elle avait forcé l’entrée a condamné cette addiction au sport. Il a dénoncé mon amie aux forces de l’ordre. Elle a aussitôt été reconfinée, à huis-clos et sur terrain neutre ! Motif principal : ligne de conduite inappropriée.

 

KATIE  &  JASON


Une prestation des plus attrayantes, pour faire oublier, par les temps qui courent, que le week-end n’est plus vraiment propice à aller guincher en bonne compagnie. Seule ombre au tableau dans cette séquence : les deux gros Australopithèques texans qui se croient obligés de faire la claque en arrière plan, et qui, de par leurs gesticulations simiesques, gâchent un peu le spectacle.