CONFIRMATION

Je me posais pas mal de questions sur la pertinence et la pratique de l’auto-test. Ma chère amie Stéphanie vient de me rassurer. Ses quatre premiers auto-tests ont été couronnés de succès. Tout s’est admirablement bien passé… peut-être juste quelques petits étourdissements et une vague sensation de confusion dans les heures qui suivent. Comme un léger état cotonneux.

I had a lot of doubts about the pertinence and use of self testing. My dear friend Stephanie just comforted me. Her 4 first self tests were successful. Just some giddinesses and some kind of confusion shortly after. A cloudy feeling…

CHAMPIONNAT  INTERNATIONAL


En matière de vaccination, comme en sport ou en politique, la France évolue toujours dans le ventre mou de la compétition. Il suffirait pourtant de quelques injections supplémentaires pour doper ses performances. Et peut-être de songer à remplacer Olivier Veran par Richard Virenque.

TOUJOURS  D’ACTUALITÉ


« Avez-vous remarqué comme on est bête quand on est beaucoup ? ». Cette citation de George Sand m’a toujours fascinée par son insondable vérité. On pourrait la conjuguer avec une autre formule, tout aussi inexorable, de Françoise Sagan : « Nous sommes peu à penser trop et trop à penser peu ». Que penser dès lors des rassemblements périodiques qui voient fleurir des crétineries aussi bêtes que méchantes dans les stades de football ? Banderoles débiles, insultes homophobes, éructations racistes, chants sectaires et vociférations primaires… plus ça va, pire c’est. On trouve même des journalistes dits sportifs capables de s’étonner que l’on s’en alarme, sous prétexte que cela fait partie de je ne sais quel folklore primitif ou tradition stupide. Au comptoir d’en face, qui se mue régulièrement en plateau de télévision ou en campagne de communication, des instances et des politiques en mal de notoriété jettent de l’huile sur le feu en proposant des remèdes aussi pernicieux que le mal. Diffusé à la belle époque de l’émission quotidienne Le Set, sur Pink TV, il y a déjà quinze ans (sous l’œil affuté d’Éric-Emmanuel Schmitt), ce billet d’humeur colle étonnamment à l’actualité toujours aussi désolante du football et de ses supporters…
Et à l’implacable mécanique du nombre.

DISPARITION  ENDIMANCHÉE

Tiens ? Un moule à gaufres et une poêle à frire… Mais où ont-ils bien pu mettre les manches ? Décidément, tout se perd dans une aristocratie qui n’est plus du tout ce qu’elle était. D’ici à ce qu’on lui tourne le dos en s’asseyant sur les privilèges et en faisant fi des particules… et non pas l’inverse, au risque de ne jamais retrouver les éléments manquants à ces deux précieux ustensiles.

AUTORITÉS  COMPRÉHENSIVES



30, 100, 200, 300, 500 km… Apparemment, les attestations de sortie ne sont plus obligatoires. Mon copain Jo, qui s’est beaucoup déplacé ces derniers temps, me l’a confirmé. Luxembourg, Suisse, Allemagne, Belgique, puis retour à Paris ; tout s’est admirablement bien passé pour lui. Il n’a eu à présenter aucun justificatif d’aucune sorte. Il m’a assuré que les représentants des forces de l’ordre qu’il avait croisé lors de ses nombreux déplacements avaient été très gentils et très compréhensifs avec lui.

VER  DE  TERRIER  !


Je connais un ami pêcheur à la ligne qui passe un temps fou à collecter des vers de terre d’un calibre idéal pour aller ensuite taquiner le poisson en bord de rivière ou d’étang. Selon lui, la taille de l’appât est primordiale. Le lombric ne doit pas être trop petit, ni trop grand. Il doit être adapté aux prises envisagées : friture ou gros poissons. Toujours selon lui, l’erreur à ne pas commettre serait de choisir un ver trop imposant, qui, à coup sûr, rebuterait la tanche ou le goujon… « Le but du pêcheur n’a jamais été d’effrayer le poisson », ajoute-t-il, catégorique. Tant au sujet de la taille du lombric que du principe de pêche, la vidéo ci-dessus semblerait prouver exactement le contraire.

83  PRINTEMPS

Claudia Cardinale est une belle ténébreuse, dont les portraits en noir et blanc ont marqué ma mémoire de jeune cinéphile. Chevelure sombre et regard profond, contrastant avec ce petit sourire entrouvert sur des dents si blanches… et ces décolletés que les cadrages resserrés ne faisaient qu’amplifier au lieu de les atténuer… et cette voix un peu rauque, terriblement sexy, dont je me demandais ce qu’elle masquait ou ce qu’elle trahissait… (suite…)