MERCI  QUI  ?


Venir au monde dans une famille aimante, cultivée, et attentionnée, est la clef du succès et d’une existence épanouie, ouvrant en grand les portes du succès et la perspective d’un avenir radieux.

TROIS  QUARTS  DE  SIÈCLE


Le bel Anglais, né le 5 mars 1946 à Londres, admet 75 ans aujourd’hui. Son album, et la chanson éponyme “Say It Ain’t So”, l’avaient propulsé sur le devant de la scène internationale en 1975. Sur ce 33 tours, figurait également l’envoutant “Never Even Though”. Si les années ont quelque peu modifié le physique du chanteur, qui est aussi acteur, sa voix et son charisme sont restés intacts. En témoignent ces deux interprétations caractéristiques, enregistrées avec 35 ans d’écart.

 

BUTOR  DE   CHEZ  BUTOR


Voilà une des raisons pour lesquelles je ne porterai jamais une grande estime à Zlatan Ibrahimovic, quelles que soient les prouesses physiques ou techniques qu’il ait pu réaliser sur un terrain de football. Se croire arrivé tout en haut et rester si mal élevé est la confirmation qu’au final, humainement et socialement parlant, on n’a pas fait un si grand chemin.

APPELS  MASQUÉS

Comment un mec qui prend autant de précautions chaque fois qu’il se sert de son téléphone peut-il réussir à se faire panner dans ce qu’il est désormais convenu d’appeler l’affaire des écoutes ?

AFFAIRE  DES  ÉCOUTES

Affaire des écoutes : ce lundi 1er mars 2021, Nicolas Sarkozy a été condamné par le tribunal judiciaire de Paris à trois ans de prison, dont un an ferme, pour corruption et trafic d’influence. L’ancien président a aussitôt déclaré qu’il comptait faire appel. Appel d’offres ou appel masqué ?

L’ÂGE  DE  RAISON

Le seul à adopter un comportement responsable dans le contexte actuel n’a pas encore sept ans, cet âge que les adultes qualifient “de raison”… ces mêmes adultes, dont la conduite, en arrière-plan, ne paraît pas vraiment raisonnable.

UN  JOUR…

Des espoirs ? Des amours ? Désespoir, désamour ? Qui sont Élina et Olive ? Réouvriront-ils (ou elles) un jour le BizArt, ce petit café de la rue des Boulets, dans le onzième arrondissement parisien ? Ces questions resteront peut-être sans réponse. Elles font partie de celles que l’on se pose en se promenant dans les rues de la capitale, avec une étrange impression de “plus comme avant”. Cette inscription « De retour… Un jour ! » traduit bien ce vague à l’âme, que l’on tente de surmonter à coups d’humour et d’optimisme. Car ce n’est pas un point d’interrogation, mais bel et bien un point d’exclamation, qui termine la phrase sur la vitrine. Et cela change tout, non ?



ENCORE  UN  DRAME  DU CONFINEMENT

Après onze mois d’abstinence sportive et de privation de compétition, ma copine Coco a craqué. Hier soir, elle a bravé le couvre-feu pour tenter de renouer avec des sensations oubliées. L’adrénaline de l’exploit, l’ambigüité du hors-jeu, l’excitation de l’indécision, la quête de l’impossible, la rumeur des gradins, l’odeur de l’aire de jeu, la performance individuelle au sein d’un collectif, et surtout, l’atmosphère des rencontres à l’extérieur, bien plus excitantes qu’une pâle nocturne à domicile ; tout cela devait bien encore subsister quelque part. Il était impensable qu’il n’en reste plus aucune trace, aucune effluve réconfortante, si infime soit-elle. Bien qu’habituellement dans le camp des dealers, l’appariteur du stade dont elle avait forcé l’entrée a condamné cette addiction au sport. Il a dénoncé mon amie aux forces de l’ordre. Elle a aussitôt été reconfinée, à huis-clos et sur terrain neutre ! Motif principal : ligne de conduite inappropriée.