BONJOUR RADIEUX
Clic pour la photo, clap pour la vidéo. De ce tiroir émergent toutes les inspirations issues de l’image, figée ou animée. Photographies et films déclenchent en nous des impressions et des expressions diverses. À partir des unes ou des autres, j’esquisse quelques trames personnelles. Ce compartiment est une chambre de couleurs qui dispose d’images pour révélateur et de textes pour fixateur.
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30, 100, 200, 300, 500 km… Apparemment, les attestations de sortie ne sont plus obligatoires. Mon copain Jo, qui s’est beaucoup déplacé ces derniers temps, me l’a confirmé. Luxembourg, Suisse, Allemagne, Belgique, puis retour à Paris ; tout s’est admirablement bien passé pour lui. Il n’a eu à présenter aucun justificatif d’aucune sorte. Il m’a assuré que les représentants des forces de l’ordre qu’il avait croisé lors de ses nombreux déplacements avaient été très gentils et très compréhensifs avec lui.
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Je connais un ami pêcheur à la ligne qui passe un temps fou à collecter des vers de terre d’un calibre idéal pour aller ensuite taquiner le poisson en bord de rivière ou d’étang. Selon lui, la taille de l’appât est primordiale. Le lombric ne doit pas être trop petit, ni trop grand. Il doit être adapté aux prises envisagées : friture ou gros poissons. Toujours selon lui, l’erreur à ne pas commettre serait de choisir un ver trop imposant, qui, à coup sûr, rebuterait la tanche ou le goujon… « Le but du pêcheur n’a jamais été d’effrayer le poisson », ajoute-t-il, catégorique. Tant au sujet de la taille du lombric que du principe de pêche, la vidéo ci-dessus semblerait prouver exactement le contraire.
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Cela pourrait s’appeler “Œufs de Pâques, suite et fin”, ou encore “Couvée Spéciale”. On ne s’en est pas rendu compte tout de suite, mais c’est aujourd’hui devenue une évidence indéniable : la danse des canards et gangnam style ont eu une descendance hybride fin 2014 ! (suite…)
J’en ai souvent entendu parler. Je n’en ai jamais rencontré… que ce soit à Pâques ou à la Trinité, ou à n’importe quelle occasion, et encore moins par un petit matin frisquet dans mon jardinet. À croire que le concept des meufs de Pâques n’ait toujours été qu’une gigantesque arnaque fantasmatique… destinée aux pauvres cloches qui veulent encore y croire, et qui, année après année, finissent invariablement par se retrouver chocolat. Sans la moindre cocotte à leurs côtés.